Odehimin, c’est se reconnecter avec soi-même et réapprendre à s’aimer.
Mention spéciale | Fictions et films d'art et d'essai
Avec une grande vulnérabilité, la réalisatrice aborde des sujets aussi touchants que la connaissance de soi et l’acceptation de son corps. S’inscrivant dans une démarche de guérison, ce film explore un lien avec la nature, un retour à la Terre-Mère qui permet de reprendre confiance en soi. Avec délicatesse, Kijâtai-Alexandra Veillette-Cheezo signe un court métrage vibrant d’amour.
Kijâtai-Alexandra Veillette-Cheezo est née à Val-d'Or d'une mère allochtone et d'un père autochtone de la nation Anishinabe. Elle explore présentement différentes approches à l'art tout en gardant un ton engagé. Elle a réalisé entre autres trois courts métrages qui abordent les réalités autochtones (Kijâtai, Kabak et Odehimin) et elle a un projet en développement avec l'ONF.